Il y avait deux directions possibles à prendre, la bonne et la mauvaise.
Il y a ceux qui ont cru en la valeur des hommes, et qui ont investi sur eux, Chine, Inde, Brésil, et ceux-là, ayant emprunté la bonne voie, ont gagné...
Il y a ceux qui ont cru en la valeur des banques, et qui ont investi sur elles, Europe, et Etat-Unis, et ceux-là ayant emprunté la mauvaise voie, se sont perdus...
Comment pourrions-nous encore confier la conduite du navire, à tous ces gens dont il est évident, qu'ils ne savent même plus où ils sont, et qui pour s'en sortir, ont confié la gouvernance de l'Europe toute entière, " à des banquiers...? "
Alerte aux fous !
Ne pas perdre de vue qu'en toutes circonstances, les hommes valent plus que les banques, et que la finance, et que c'est avec eux qu'il faut compter, voici la voie...
Confier la barre à des technocrates de gauche ou de droite, qui se prenant pour les nouveaux génies des Carpates, pensent que c'est de leur scolastique enarquienne fumeuse que viendra notre salut, voici l'impasse...
Nous devons donc refuser que nous soit proposé de choisir l'an prochain, entre l'impasse de gauche ou l'impasse de droite, et il est temps de mettre un grand coup de pied dans tout ce système d'égarés...
Richard Pulvar
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