dimanche 28 avril 2013

Cent Dollars un nouveau billet pourquoi ?



Dans l'indifférence générale des non initiés, La Federale Reserve a annoncé que ce nouveau billet de Cent Dollars sera mis en circulation le 8 octobre prochain.

Quelques membres du GATA, dont Bix Weir, voient dans ce nouveau billet américain un changement monétaire majeur.

Écrite en lettres d'or, une partie de la constitution originale des Etats Unis est lisible en bas à droite du billet. Or, la constitution américaine définit que l'unité monétaire de base est le Silver Dollar avec un ratio fixe pour l'or.

Une partie du billet est gravée couleur or : la Liberty Bell et le chiffre 100

La partie gauche du billet est restée dans la lignée des billets précédents de monnaie fiduciaire alors que la partie droite semble vouloir évoquer un étalon or.

Ce serait donc une monnaie de transition… ce qui irait dans le sens d'un scénario évoqué par l'une de nos sources, il y a quelques années, d'une réforme monétaire en deux temps.

Pour mémoire, dans ce premier temps, l'or serait revalorisé aux alentours de 3500-4000$, l'argent probablement vers 150-175$... mais cette dévaluation et monétisation des dettes sera (volontairement) insuffisante pour régler durablement les problèmes. De ce fait, après une courte période de stabilité, qui avait alors été évaluée à 18 mois ou deux ans, la confiance se désagrège et les monnaies sont détruites par une hyperinflation sévère (2016).

L'hyperinflation du Dollar, ancienne monnaie des échanges internationaux, entraine un phénomène similaire pour toutes les monnaies fiduciaires de la planète. Etudiez ce qui s'est passé à Weimar pour comprendre ce que cela veut dire. C'est avant tout une très grande misère généralisée, qui vont générer des désordres sociaux et un basculement vers des gouvernements totalitaires. Pour que ces désordres monétaires amènent à la guerre, il n'y a qu'un pas.

Dans un deuxième temps, après un apaisement des relations internationales, une nouvelle réforme monétaire brutale devait amener l'or à un niveau beaucoup plus élevé, de l'ordre de 10 ou 15 fois sa valeur antérieure avant la phase de destruction monétaire. L'or est alors réservé à l'usage des banques centrales. L'argent, du fait de sa valeur industrielle, n'est pas cette réforme entraînant une phase de stabilité et de prospérité de 72 ans (cycle d'Armstrong).

Ce scénario a été dans les projets de l'oligarchie financière. La Chine, la Russie et leurs alliés souhaitent un passage direct au Bancor, une monnaie indexée sur un certain nombre de matières premières (or, ag, pétrole, cuivre, blé, riz .. ) qui semble beaucoup plus équitable. Pourrons nous éviter la phase de destruction monétaire, de désordre et de guerre ? L'Histoire nous le dira.

Pour l'instant, ils sont en train de dynamiter le système. Le feu d'artifice va être impressionnant. Ne soyez pas dupe des comédies politiques et des mouvements de foule, qui seront orchestrés. Concentrez vous sur la manière de protéger votre famille pendant une période difficile. Pensez qu'il vaut mieux nourrir des affamés et s'en faire des alliés plutôt que de leur tirer dessus. Pensez dés aujourd'hui qu'il vous faudra être généreux demain.

Cyrille Menthalo - expert financier et journaliste

jeudi 25 avril 2013

Plus de six millions de chômeurs en Espagne, nouveau seuil historique de 27,16%


MADRID (Espagne) - Le chômage en Espagne a encore progressé au premier trimestre 2013, atteignant le nouveau seuil historique de 27,16% avec plus de six millions de sans-emploi, alors que le pays reste plongé dans la récession.

A la fin mars, l'Espagne, quatrième économie de la zone euro soumise à un effort de rigueur sans précédent, comptait 6.202.700 chômeurs, soit 237.400 personnes de plus qu'au trimestre précédent, selon les chiffres publiés jeudi par l'Institut national de la statistique.

mardi 16 avril 2013

Vers un « printemps européen » ?


Deux documents évoquant les problèmes de la politique économique, ont été portés à la connaissance du public en Europe. Le commissaire européen aux affaires économiques et monétaires Olli Rehn a présenté une analyse de la situation économique dans 13 pays membres de l’UE, rapportent les médias. L’Organisation internationale du Travail a de son côté publié un rapport sur la situation du marché de l’emploi dans l’Union européenne. Si les sujets, auxquels sont consacrés ces deux rapports, ne sont pas nouveaux, les conclusions de leurs auteurs sont dignes d’intérêt.

Selon l’expression du journal allemand Neues Deutschland, le gouvernement espagnol a encore reçu une « douche froide ». Le commissaire Olli Rehn a exigé que l’Espagne et la Slovénie revoient en urgence leur politique économique. Les réformes en Espagne sont « défaillantes », selon lui, et elles sont excessivement lentes. Le taux de chômage a déjà atteint 26%, et 56% parmi les jeunes.

En l’occurrence, la position de Bruxelles coïncide avec l’opinion des analystes, même espagnols. Le rapport venant d’être présenté par l’Organisation internationale du Travail sise à Genève, souligne qu’à cause du taux de chômage élevé dans certains pays européens les tensions sociales risquent de s’accentuer. C’est sous la direction de l’économiste espagnol Miguel Ángel 
Malo que ce rapport a été rédigé.

Les hommes politiques européens et les experts ont de nombreuses de raisons d’être inquiets, notamment en ce qui concerne une probable explosion sociale.:

« Je crois qu’il ne faut quand-même pas s’attendre à une explosion. Mais si les motifs de préoccupation existent. Tout ne dépend pas des autorités. La croissance peut être stimulée dans une certaine mesure, mais il est impossible de la garantir au niveau administratif. A bien des égards, c’est le temps qu’il faut pour que l’économie revienne à la normale », selon Sergueï Outkine, directeur du département intégration de l’Institut russe de l’économie mondiale et des relations internationales
Ceux qui défendent les intérêts des travailleurs, par exemple Thomas Händel, eurodéputé du parti allemand Die Linke, s’opposent à la politique économique néolibérale.

« L’Europe s’obstine à suivre le cap mis sur le néo-libéralisme. Par conséquent, ce sont les autres qui profitent des avantages du libre échange, de la libre circulation des capitaux. Il s’agit cependant des questions sociales et notamment de la possibilité d’exercer un emploi décent comme objectif dans la vie. Un emploi qui tirera les gens de la pauvreté en les rendant autonomes. Voici ce que manque l’Europe aujourd’hui ».
Certains évoquent la probabilité d’un « printemps européen », écrit le magazine allemand Cicero. On constate en effet des prémices de ce « printemps », qui est politique. 

Oleg Severguine 

vendredi 12 avril 2013

" ALERTE : les comptes bancaires européens peuvent être officiellement spoliés

Michel Barnier en avait déjà parlé, désormais le projet de directive est officiellement mis en place : les comptes bancaires de plus de 100.000 euros seront mis à contribution en cas de crise bancaire. Chypre n'était donc qu'une première étape, comme nous l'avions dit."

Chypre Hands off Cyprus Anonymous #OpCyprus

lundi 8 avril 2013

"Le 13 avril 2013....STOP À L’IMPOSTURE FINANCIÈRE DES BANQUES


Nous ne voulons plus payer ce système de dettes odieuses privées et publiques qui nous asservit, entraîne des destructions écologiques, lamine les principes démocratiques et les droits sociaux, entretient les communautarismes, provoque les conflits militaires et conduit aux guerres civiles.

Nous ne voulons plus payer ni la corruption des États ni le totalitarisme des marchés boursiers qui répondent à la contestation par la coercition, avec des politiques dites sécuritaires (en réalité de surveillance et de répression policières) et appuyées de discours de plus en plus déshumanisants, ouvertement xénophobes, racistes et fascistes, à travers les bandes armées et les milices mafieuses qu’ils favorisent.

Nous disons NON !…

Lien de l'événement ou vous trouverez les villes qui se mobilisent : https://www.facebook.com/events/459217494141641/ "

lundi 1 avril 2013

Deux tiers des citoyens de Pologne ne veulent pas que leur pays passe à l’euro


La plupart des Polonais ne veulent pas que leur pays passe à l’euro. C’est ce qu’indiquent les résultats du sondage effectué par le Centre de l’étude de l’opinion publique (CBOS). 64 % des Polonais interrogés sont contre l’euro, 29 % sont pour. La majorité des personnes interrogées associe l’apparition de la nouvelle monnaie dans leur pays à une hausse des prix et à l’impossibilité d’appliquer une politique monétaire indépendante.